L'arrivé de Léthé avant l'heure

Tandi quune guerre faisait rage entre les mage, ces dernier arrivait a trouvé la force d'envoyé des projection deux même dans les monde. Il faut dire que ca devenait... Urgent. Parce que ca durait depuis longtemp. Alors dun point de vue restreint, ca permettait surtout de saéré les idées, de sortir un peu de cette bagarre continuel. L'autre raison, bien moins avouable, été de formenté quelque plan contre ses ennemi et faire quelque coup dans le dos, puisque de toute façon l'affrontement conventionel ne menait a rien.

Léthé n'été pas la dernière pour cela. Au contraire, elle faisait parti de celle qui aimait le moins laffrontement direct que lui imposait cet guerre, et qui préférait préparé un plan plus sadique, plus subtil a opéré en arrière cour.

Elle faisait aussi parti des mage qui avait maudi Luchia et entretenait cet malédiction, sassurait que la petite "neko" continuait à ne se souvenir de rien, allant toujours et encore plus vers son destin: se changé totalement en chat et ainsi ne plus être daucune menace, ne pouvant plus prétendre au trone.

En gros, ca faisait troi bonne raison de se séparé un peu du combat pour pouvoir agir ailleurs.

Léthé apparut depui un portail noir dans le petit salon blanc de la cité du crépuscule. Elle s'assi aussito dans une des chaise et se massa le cou. Son cristal planté dans sa tête, faisai son bou de chemin et lui faisait toujour aussi mal. Comme quoi, que les projection leur permettait dêtre malgré tout totalement eux, ca n'avait pas que des avantage. Elle aurait pu profité que ce n'été qu'une projection delle même pour ne plus ressentir ce mal, mais non.

-Dieu que ca fait mal... Enfin... Puisquil le faut... Si je suis obligé de souffrir... Autant y allé à fond et ne rien cédé...

Elle se releva et observa les dessin sur le mur:

-Qui peut bien faire des horreur pareil ?

J'étais arrivée à la Citée du Crépuscule depuis quelques jours. Je ne faisais que de tourner en rond dans les rues, cherchant une personne qui pourrait avoir besoin d'aide... Depuis que je m'étais mis en tête l'objectif d'aider toute personne, à la Terre des Lions, j'ouvrais un Portail vers un Monde alternatif. Mais lorsque je voyais que l'on n'avait pas besoin de mes services, je changeais de suite. Mais pas cette fois-ci... Il faut dire aussi que ce fut un Monde où je restai fort longtemps, rétablissant la mémoire de Sora. DiZ m'avait emmener ici pour que l'Organisation XIII ne puisse me retrouver. Il tenait vraiment à ce que l’Élu de la Keyblade soit de nouveau capable de se battre. Je ne savais plus pour quelle raison d'ailleurs cela lui tenait tant à cœur...

Pendant mes réflexions, je ne remarquais pas que mes pas me guidaient vers le Manoir Abandonné. Lorsque je fus arrivée devant le portail imposant, je levai la tête et une pointe de nostalgie s'installa au fond de moi... Quelque part dans mon Esprit...

Je finis par rentrer dans le hall et regardai chaque recoin. Cela me faisait toute chose de revoir cet endroit. Rien n'avait changé en ces quelques années d'absence... Le manoir demeurait vide, détruit, et désert. Soudain, je pensai au Salon Blanc. Cette pièce où je dessinais pour rétablir la mémoire de Sora, où j'avais parlé avec Riku des problèmes de la reconstitution des souvenirs du garçon châtain, où j'avais expliqué à Xion la situation et avais fait de même avec Roxas qui était, à cette époque, amnésique de ces semaines passées à l'Organisation XIII.

Je me rapprochai donc de la porte, je sentais mon Esprit bouillir, comme s'il voulait me faire ressentir ce qu'un humain aurait pu éprouver à ce moment-même. Je supposais donc que si j'en avais un, mon cœur battrait de plus en plus vite à chaque pas que je faisais, en me rapprochant de cette porte...

Une fois arrivée, je mis ma main sur la poignée lorsque j'entendis :

-Qui peut bien faire des horreur pareil ?


Cette remarque me fit reculer d'un pas. Non pas parce que j'étais blessée par ces propos, mais parce que j'étais très étonnée de savoir qu'il y avait quelqu'un dans le manoir.
Je n'osais plus ouvrir, voulant laisser cette femme seule, et fis donc demi-tour sur la pointe des pieds, en espérant que l'inconnue n'allait pas ouvrir la porte dans un fracas m'ayant sentie, ou entendue...

Léthé arracha un dessin du mur pour mieu le regardé. On aurait dit un dessin dun gamin de six ans. Elle pensa alors être tombé dans la chambre dun enfant. Elle eut un sursaut dédaigneu en lancant le dessin par dessu son épaule. Elle n'avait visiblement pas entendu ou senti la présence de Naminé.

Cependant, comme elle navait rien a faire dans une si petite pièce dénué d interet, elle sortit en poussant les porte dun grand cou sec. Aussito, elle vit la fille blonde vetu dune robe blanche.

Quelque chose en elle transpirait la lumière, la pureté. Rien a voir avec Léthé, son opposé, habillé de noir, au cheveu noir et a l'aile de corbeau. Déjà rien quen la voyant, rien quau premier regard, Léthé sentait déjà que cette fille lui été proprement insupportable. Pour autant, Léthé n'été pas adepte d'une violence irréfléchi. Si tuer, torturer, faire soufrir lui plaisait, elle savait aussi que cela n'été daucune utilité et quil valait mieux dabord jugé de la valeur de la persone.

Ensuite, arrivait l'instant de la manipulation ou de l'anéantissemen pur et simple. Si elle pouvait être utile, elle se forcerai a se montré un peu plus avenante.

-Ecouterai tu au porte, petite ? J'ai horreur des espionne.

Je reculai le plus silencieusement possible, sentant une immense tension en mon être. Je désirais plus que tout que cette porte ne s'ouvre pas. J'en retenais presque ma respiration. Je souhaitais me diriger vers la bibliothèque pour pouvoir revisiter les lieux plus profondément et peut-être même retourner plus tard dans le salon blanc en espérant que la femme soit sortie du manoir.

Hélas pour moi, mon petit plan pour la visite fut détruit par l'inconnue qui ouvra si brusquement la porte que je fis un bond en arrière. Cette femme était d'une grande beauté ! Avec une peau pâle qui s'accordait parfaitement à ses cheveux bruns, elle portait une robe noire. Une seule aile noir ainsi qu'un gant de la même couleur étaient présents. De plus, elle détenait un étrange cristal incrusté à sa tête et ses yeux étaient écarlates.
Je fus donc arrêtée dans ma marche par son arrivée. La dame s'indigna alors :

-Ecouterai tu au porte, petite ? J'ai horreur des espionne.

Je n'osais répondre et n'arrivais pas à trouver les bonnes phrases pour prendre la parole. Enfin, je lançai avec une voix, étrangement, claire et non bégayante telle que j'aurais pu m'y attendre :


"Excusez-moi, je ne voulais pas vous gêner. Je ne suis pas du tout une espionne et je ne souhaitais que de rentrer dans ce salon, ne sachant pas que vous y étiez."

Je me sentais toute petite et ridicule en face de cette jeune femme. Bien que la jeune femme dégageait une aura ténébreuse, sa beauté resplendissait dans tout le manoir.


"Je ne vous avais jamais vu auparavant. Qui êtes-vous ?"

Et pourquoi je me montre si polie envers elle ? Elle est sans doute plus âgée que moi mais elle ne m'a parlé d'une façon aimable elle non plus, je ne vois pas pourquoi j'en ferais de même !

La jeune fille semblai a la fois gêné et en même temp assez confiante. Sa voix ne laissa pas transparaitre son trouble. Pourtant, ses yeux disait beaucoup. Quelle la dévorait des yeux, la trouvant belle et quelle se sentait gêné et inquiète d'avoir été ainsi découverte. Léthé savoura la sensation quelle avait de dominé cette fille par l'aura quelle dégageait.

Léthé eut un sourire carnassié. Elle se disait déjà quelle arriverait a mener cette fille a la baguette. Elle se trompait peut être, Léthé été du genre a faire preuve d'un peu trop de confiance. En tout cas, au premier abord, cette fille semblait faible, respectueuse, poli et innocente.

Toutefois, quant la fille lui demanda qui elle été sans même se présenté elle même, Léthé fronça les sourcil en un regard sévère. Toutefois, elle été aussi si prétentieuse quelle ne résista pas à essayé de se rendre encore plus importante en clamant avec force:

-Tu as devant toi, Léthé, sorcière de l'oubli, futur reine du Paritan !

Mouai, c'est vite dit ca, elle en été encore bien loin. Tout en disant cela, elle écarta les bras, repoussant son aile vers l'arrière en un bruyant souffle qui fit tombé quelque plume. Elle se remit normal en affichant un regard cruel, en fixant Naminé.

-Et toi ? Serai-tu la concierge ? Ou serai ce ta maison ? Vis tu avec quelqu'un ?

Je ne voulais aucunement que cette femme pense qu'elle était au dessus de moi. Certes, j'étais un Simili, je n'étais donc pas censée exister mais ce n'était pas une raison pour me montrer faible face à elle ! Cela ne me dérangeait aucunement d'être gentille et respectueuse avec des personnes, mais pas celles qui se croient fortes et supérieurs aux autres !

-Tu as devant toi, Léthé, sorcière de l'oubli, futur reine du Paritan !

Et ce fut une preuve comme quoi cette Léthé était quelqu'un de très arrogant. De plus, elle ajouta par la suite quelques questions dont l'une était assez humiliante. Je ne fis guère attention à son regard, ayant découvert que cette femme était quelqu'un d'impertinent.
Même si au fond de moi, mon corps bouillonnait, je répondis avec une voix transparente :

"Je me nomme Naminé.Je ne vis ni dans ce manoir ni nul part ailleurs. Personne ne m'accompagne."

Je n'ajoutais pas bien évidemment que j'étais le Simili d'une Princesse de Cœur de la Lumière, ne désirant pas m'attirer des ennuis ou pire encore, mettre la vie de Kairi en danger !
Et sans dire un mot, sans montrer aucune émotion sur mon visage, je pensais à côté de Léthé sans un regard et entrais dans le Salon Blanc. J'observais longuement cette salle qui était tellement symbolique pour moi. J'y avais passé énormément de temps, reconstituant la mémoire de ce cher Sora... La dernière fois que je l'avais vu c'était à Illusiopolis où il m'avait aidée à créer des Portails pour pouvoir me déplacer facilement de Monde en Monde. Il était tellement gentil avec moi... Sans doute parce que j'étais le Simili de sa fiancée... Non... C'est surtout parce que je suis une amie... Et en me perdant dans ces merveilleux souvenirs, je m'assis sur une chaise et fermais les yeux, ignorant complètement la présence ou non de Léthé.