Nom: Je n'en ai pas.
Prénom: Akina, c'est comme cela que l'on m'a prénommée.
Age: Disons que j'en parais à peu près 18.
Groupe: Je suis neutre, je ne prends parti en rien et en personne.
Points forts:* Vitesse, agilité, souplesse
* Grande force d'esprit, caractère fort
Points faibles:* Force
* La magie "blanche"
Ses traits physiques:Blanc. Cette couleur si pâle, qui ressemble tant à ce que l'on qualifie de neige à remplacé l'ancienne couleur noir de ses cheveux. Des cheveux si fins, si longs; si lisses... Cela contraste tellement avec la rougeur de ses yeux écarlates. La couleur du Sang les empourprent tellement que l'on pourrait croire qu'elle est incessamment en colère, alors qu'il n'en est rien. Sa peau est si palle que l'on dirait qu'elle vient d'un froid intense, alors que cette couleur est parfaitement naturelle. Malheureusement des multitudes de tatouages recouvrent ses bras, ses jambes, tous noirs. Sauf un. Une rose rouge dans sa nuque. Chaque tatouage représente une âme qu'elle aurait absorbé suite à ce qu'elle aie tué quelqu'un. Elle s'en sert comme source d'énergie.
Les traits de Akina sont fins, son visage en est la preuve même. Ce n'est pas une grande personne, mais le fait qu'elle soit très fine, presqu'anorexique, dévoile de longues et fines jambes, il en va de même pour ses bras, sans oublier ses doigts qualifiés de "doigts de sorcière". La pauvre n'a rien fait pour mériter ça, mais se retrouve dans un tel état que l'on pourrait croire qu'un coup de vent pourrait la faire éclater en morceaux...
Son caractère:Des voix... Une, deux, trois, quatre... elle ne les compte plus. Tout cela résonne dans sa tête, ces voix la critiquent, l'insulte, lui disent d'aller se suicider, qu'elle ne mérite pas la vie... Comment ne pas devenir fou avec ça? Tout montre que Akina est atteinte de schizophrénie, alors qu'elle est sûre du contraire. Elle ment.
Pour son honneur, pour sa fierté, pour elle-même. Elle le sait, elle le sent.
Cela la rend folle, elle devient sadique, masochiste, elle aime tout simplement la vue du sang, ce qui n'est pas plus mal dans son cas. Elle devient de plus en plus méprisante, moqueuse, et ne rate pas une occasion de rabaisser quelqu'un. Tout ça pour cacher sa propre faiblesse qui la ronge petit à petit.
Elle attend, impatiemment, désespérément, la personne qui saura lui rendre une bonne âme malgré ce qu'elle est devenue. Une personne qui saura enfin la Brisée complètement afin de la reconstruire.
Son arme: * Un revolver
* De longues chaînes
* Un batte de baseball
Sa magie:*
Magie démoniaque: elle peut faire toutes sortes de sorts en puisant dans l'énergie puisé des âmes qu'elle a tué. (N.B: cette énergie étant conservé dans son corps, cela l'affaiblit en fonction du sort qu'elle lance.)
Invocation: * Anna: peluche lapin vivante. Anna a étrangement toujours une paire de ciseaux avec elle, on se demande pourquoi...
Son passé:Il y a 7 ans, quand tout à basculé
Silence. Noir.
Tintillements de mes chaines. Les portes s'ouvrent. De la lumière. Des gradins.
Applaudissement général.
On me fouette telle l'esclave que je suis, on me fait avancer au centre de l'arène. Des gradins l'entourent. Aucune échappatoire. Les spectateurs applaudissent, tapent des pieds; ils commencent à me connaître, moi, Expérience492. À croire qu'ils ont réussi leur coup, les scientifiques: ils m'ont faite moi, démone sans corne ni queue, tout en gardant la puissance d'un démon qui peut absorber les âmes dont je tue l'enveloppe charnelle... Mais les spectateurs préfèrent m'appeler "Akina", qui vient de "Arina", arène en japonais.
Combats après combats. Victoires après victoires. C'est le dernier de la journée; je viens de tuer 4 personnes aussi innocentes que moi, des expérimentations.
Tintillements des mes chaines. Ils viennent de mes les enlever pour les reprendre, me laissant seule au milieu de l'arène. Mes cheveux noires devant mes yeux; je n'ai pas fière allure.
Encore un combat? T'en a pas marre? Va en enfer, démone!Les voix. Non, pas maintenant. Ma tête va exploser. Les scientifiques disent que c'est mon seul défaut. Je suis schizophrène. Mon œil. Je ne le suis pas. Je ne suis
rien si ce n'est une esclave.
Mon adversaire s'avance vers moi, je lève légèrement la tête vers lui. Ah! Un monstre. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une créature pareil. Je ricanai.
Une cible facile. Gros, gras, rond. La force ne fait pas tout mon ami, il faut savoir être agile. Je fais apparaître de longues chaînes dans mes mains, dont les bouts sont pointus. Des chaînes, inoffensives? Tu te trompes mon coco... Je m'avance, la marche lente et trébuchante, fatiguée d'utiliser autant d'énergie pour ces stupides combats... Le tatouage en forme de phénix sur mon avant-bras droit disparut. Sûrement car j'avais utilisé toute l'énergie d'une âme en faisant apparaître les chaînes... Pfff. Peu importe.
J'arrivais à auteur du monstre, et mes chaines s'entourèrent autour de lui.
Il les brisa.
Je restai bouche, debout devant le mastodonte. Je serai les dents. Il ne me demanda pas mon reste, l'enflure, et m'envoya rouler dans la scène. Les spectateurs me huèrent. Les voix reprirent de plus belle. Là, couchée par terre, humiliée de partout même en moi-même, comment ne pas craquer? Je n'en peux plus. Mes larmes coulèrent, étrangement noires, ce que j'aperçois quand une tomba sur le terre de l'arène. Inhabituel. Je n'en oubliai pas ma souffrance.
"Suicide-toi. Suicide-toi. Tue-toi. Meurs. Sale démone tueuse. Tu ne mérites que ça: la mort."Ça y est, la goutte d'eau de trop. Un hurlement sortit de ma bouche; strident. Mes chaines se relevèrent d'elles-mêmes, comme si elle faisaient partie de ma pensée, et foncèrent directement sur mon ennemi.
Transpercé.
Les gens applaudirent. Je m'en fichais comme la première fois. J'avais mal; au coeur, à la tête, en moi-même. J'étais brisée.
Mes gardiens coururent vers moi avec mes entraves, essayant de me les remettre. Je les tuai également. Je devenais sans pitié. Eux qui m'avaient emprisonné pendant 10 ans, comment ne les avais-je pas encore tués? Ne restait qu'à m'enfuir.
Toujours sur le sol, je me mis à rire, passant des larmes au fou rire... Devenais-je folle? Ho, non. Non, je l'étais déjà...
Comme par magie, mes jambes acceptèrent de bien vouloir refonctionner, et je sortis chercher la liberté.
Enfin.
Je ne m'attendais pas à ce spectacle. Cette planète était affreuse. Des arbres noirs, morts, l'herbe de la même couleur, le ciel gris orageux. À quoi ressemblait la nuit dans ce monde?
Il y a 3 ans
Mes yeux noirs fixaient la personne devant moi. Les "voix" m'avaient dit de le tuer; sinon c'est lui qui se chargerait de moi. Je n'avais fait qu'apparaître mon pistolet, et lui tirer dessus. Sur le moment, ce fut un réel plaisir de prendre cette vie, sans compter que j'absorbai son âme qui fit apparaître une rose rouge sur ma nuque.
Puis une douleur fulgurante me prit.
Je n'arrivais plus à respirer, ma respiration était littéralement coupée, tandis que mes yeux me brûlaient. Je les fermais et me laissa glisser sur le sol froid. Qui était la personne que je venais de tuer? Un... monstre comme moi? Non, je l'aurais deviné avant, il aurait les mêmes marques que moi sur le corps... mais alors, quoi?
Je réouvris les yeux, ceux-ci me brûlant moi, découvrant sur le sol mes cheveux qui vrillaient au blanc. Oubliant la douleur, j'attrapai rapidement une de mes mèches pour découvrir une blancheur qui n'avait jamais été sienne. D'accord, j'avais compris.
« Et oui petite démone... Voilà ce qui arrive quand on tue un vampire! » se moquèrent les voix.
Maintenant
Tic, tac. Tic, tac.
Tic, tac. Tic, tac.
Assise sur un toit de la ville de Traverse, je balance ma tête de droite à gauche, en comptant les secondes.
Tic, tac.
Un grand sourire illumine mon visage, sourire qui laisse découvrir des crocs pointus.
Tic, tac.
Mes bras découverts laissent apparaître une multitude de tatouages de toutes sortes, allant d'une faux à un monstre, et d'une Rose rouge dans la nuque, seul tatouage coloré, mais bien caché par mes cheveux blancs.
Tic, tac.
J'attends ma prochaine proie, les voix m'ont dit qu'elle viendra bientôt, et qu'il me serra dur de la tuer. Peut-être même impossible.
Tic, tac.
Je n'y crois pas.
Serait-ce toi?
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