Perché sur un arbre

La demoiselle regardait la scène en étant tout à fait impuissante. Elle écouta Simon parler et elle fit non de la tête. Ce fut durant qu'ils se concentrainet sur Démoniaque qui n'était déjà plus loin qu'elle avait profité pour partir. D'abord, elle avait créé un portail avec son arme qu'elle avait fait réapparaître et elle l'avait traversé. Ce portail s'était refermé et s'était ouvert plus loin, sur le campement. La jeune femme alla s'asseoir sur une des caisses en bois et elle mit sa tête entre ses bras.

*Je veux pas y aller, je veux pas aller au château Disney*

Pensa la demoiselle en laissant glisser quelques larmes silencieuses. A vrai dire, si elle était partie, ça avait été tout d'abord un reflex et aussi parce qu'elle ne voulaient pas qu'ils la voyent comme ça et qu'ils la prennent pour une enfant gâtée, ce qui n'était aps le cas. Si elle se mettait dans tout ces états, c'était parce qu'elle repensait à ce qui c'était passé durant plusieurs mois dans ce château et des scènes pas très jolies lui revenaient en tête. Cécilia, une fois qu'elle ce fut calmée, se releva et essuya ses yeux du revers de sa main.

*Je suis une grande fille, je sais me débrouiller seule ! Et puis, ils s'en moquent de ce que je pense, tout ce qu'ils veulent, c'est que mes pouvoirs se développent alors que je veux retrouver le coeur de mon frère ! Tant pis, je le retrouverais seule ! Au moins, je suis sur d'y arriver !*

Sur ce, elle refit un portail et elle le traversa en ayant quand même un déchirement au coeur, car elle avait peur de la réaction de Serval. Elle en ressorti quelques minutes plus tard et sorti une page vierge et un crayon de sa poche et elle écrivit un petit mot. La mécanicienne remit son crayon dans sa poche et retraversa le portail qui se referma directement sur la gardienne.

"Je m'en vais, ne me chercher pas. Serval, ne t'en fais pas, nos coeur sont liés, on se retrouvera plus vite que la lumière... ou les ténèbres si elles n'envahissent pas mon coeur. Signé Cécilia"

C'était ce qui était écris sur le bout de papier qui avait volé à cause du vent et qui à présent s'était retrouvé sur un arbre de la jungle