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 Forbidden memory

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MessageSujet: Forbidden memory   Forbidden memory Icon_minitimeVen 15 Fév - 19:53

Chapter 1 : Awakenning



J’ignorais depuis combien de temps je dormais, mais ça devait être depuis un très long moment. Je me réveillai dans une chambre blanche, imbibée d’une forte odeur de désinfectant. J’étais allongé dans un lit drapé de blanc, un lit d’hôpital. Je reconnaissais ce genre de lit vu que j’y avais souvent séjourné. Un problème de naissance avec mon sang provoquait des malaises, une hypoglycémie… Tant de mots dont j’ignorais la signification, mais que je retenais malgré moi. Du haut de mes six ans, j’ignorais un grand nombre de choses encore, mais j’étais capable de retenir tout ce que j’avais lu, vu ou entendu. J’étais différent des autres du fait de mon « anomalie » dans le sang.

Une chose me frappa cependant à mon réveil : l’absence de ma mère. Elle avait toujours été là pour moi, à prendre soin de moi et elle se tenait à chaque fois à mes côtés, souvent assoupie, jusqu’à mon réveil. Son absence me semblait étrange, aussi commençais-je quelque peu à paniquer et à l’appeler. J’avais peur. Peur qu’il lui soit arrivé quelque chose car ma mère ne s’absentait jamais, sauf en cas d’urgence pour se « soulager » comme elle disait. Je tentai de me calmer en me disant que ça devait être le cas. Quelques minutes passèrent, minutes pendant lesquelles je tentais de me rassurer. Mais le temps s’écoulait, lentement. Je ne parvenais plus à tenir en place et commençais à pleurer. Je l’appelais avec le peu de force que j’avais.

Finalement un homme rentra dans ma chambre : assez vieux, le crâne dégarni, des lunettes rondes, une longue blouse blanche. Je pensais d’abord qu’il s’agissait du docteur, mais je ne le connaissais pas. J’avais un docteur habituel mais ce n’était pas lui. Cet homme avait un sourire malsain qui se dessinait sur ses lèvres avant de me dire :



Hé bien… Enfin réveillé mon garçon ? Cela doit bien faire 5 mois que tu dors. Mais je peux comprendre, après tout tu as tué ta mère. Ça a dû être un terrible traumatisme pour un jeune garçon comme toi d’ôter la vie à celle qui lui a donné.


J’étais sous le choc. J’avais tué ma mère ? Malgré mon jeune âge, je comprenais la signification de tuer, ôter la vie car j’étais assez en avance pour mon âge sur la signification des mots. J’avais par ailleurs pu voir quelques cadavres d’animaux près de ma maison. Cependant comment aurais-je pu le faire ? Je n’aurais jamais voulu la tuer : je l’aimais plus que tout. C’était inconcevable…



Non… Vous mentez ! Où est ma mère ? Je veux la voir !

Elle morte mon garçon. Si tu penses que je ne te dis qu’un tissu de mensonges, je te laisse regarder et juger par toi-même.


Le vieil homme fit alors apparaître un hologramme qui diffusa alors une vidéo. Il n’y avait pas de son. Je pus néanmoins la voir avec moi. Elle semblait me gronder… La mémoire me revenait… Ma mère ne supportait plus cette situation où je devais aller à l’hôpital constamment, et payer des traitements très onéreux. Elle m’avoua qu’elle aurait préféré que je n’existe pas, que j’étais la source de tous ses malheurs : mon père l’avait quitté quand il sut que j’étais en son sein, l’argent par mes traitements, ses amis et proches à cause de mon « anomalie » qu’ils craignaient contagieuses. Tout ça finissait par la ronger à petit feu. Tétanisé par ses propos, j’avais les larmes aux yeux car je comprenais ce qu’elle me disait.

Ma mère en profita alors pour me saisir et tenta de m’étrangler. Ma propre mère essayait de me tuer… Je la repoussai alors violemment en la projetant vers la cuisine. Étonnamment j’avais une force insoupçonnée, mais je regrettais d’avoir agis ainsi. Elle se précipita à nouveau vers moi, un couteau à la main. Quelque chose recouvrit alors ma main droite, une sorte de gantelet pourvu de griffes, et me permit de trancher sec son bras. Son sang gicla sur mon visage, un gout et une odeur horrible m’attaquaient. Ma mère hurlait de douleur pendant ce temps. Finalement elle me dévisagea prononça alors son dernier mot :



Monstre…


Il s’agissait là du seul mot que je ne supportais pas… Je réagis au quart de tour et m’attaquai à elle en la tranchant encore et encore. La rage m’avait gagné, et le seul moyen de la calmer avait été de frapper encore et encore… Suite à cet acharnement je m’évanouis, exténué physiquement et mentalement. Donc voilà ce qui s’était passé avant mon réveil…



Quelle mère indigne n’est-ce pas ? Tu n’as jamais demandé à être né ainsi. Je te comprends. Tu n’es pas un monstre, tu es un être humain doté d’un talent exceptionnel et unique, cela peu de personnes le comprennent. La majorité des gens te poussera à te faire soigner de ce don que tu as ; moi je te propose plutôt de le comprendre, de le maîtriser et d’effacer les effets néfastes que tu subis. Qu’en dis-tu ?


Je n’avais pratiquement plus rien… Juste cette « anomalie »… Si je l’abandonnais je n’aurais plus rien… J’acquiesçai alors lentement, pour le plus grand plaisir de celui qui serait mon « père ».


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MessageSujet: Re: Forbidden memory   Forbidden memory Icon_minitimeDim 17 Fév - 17:09




Chapter 2 : Disappointment


Ma nouvelle vie commença avec mon nouveau « père ». Pendant les premiers mois je restais constamment dans une clinique spécialisée recevant régulièrement les visites de mon père. Suite à une batterie de tests en tout genre avec mon sang et différents traitements, les médecins réussirent à créer un traitement journalier qui me permettrait de ne plus avoir de crise. Le seul problème, un assez dérangeant, était que ce traitement provoquait une réaction involontaire sur mon corps : mon gant griffé apparaissait constamment, ou du moins les trois quarts du temps. De ce fait, je ne pouvais pas assister à des cours auprès d’élèves normaux. Même si ce traitement était contraignant, je préférais de loin porter cette « chose » et ne plus avoir de crise. J’avais réussi à vivre une vie à peu près normale avec ce nouveau père. Mais ma volonté d’apprendre et de vouloir connaître d’autres personne commençaient à devenir oppressante.

Pour pallier à ces problèmes, mon père me proposa de m’inscrire dans un établissement militaire spécialisé : un lieu où d’autres personnes ayant des « anomalies » étaient inscrits afin d’une part de leur permettre une certaine vie en communauté, tout en assistant à des cours et en apprenant à maîtriser nos différences. La contrainte importante était la restriction des visites des proches à environ 3 par semaines. Cependant j’étais prêt à accepter ces conditions car d’une part j’avais la volonté de vouloir vivre comme toute personne normale, et que mon père m’y poussait. Il m’offrit même quelques boîtes à musique pour que je me souvienne de lui, ou pour m’aider si je me sentais seul, surtout compte tenu des conditions rudimentaires de nos vies : une petite chambre avec le strict minimum pour nous permettre de vivre, ce qui incluant un lit, un peu d’électricité, une salle de douche contenant les toilettes.

Au cours de l’année de mes 7 ans, je pu arriver à maîtriser passablement mon « anomalie » et je n’avais plus besoin du traitement. Cela rendait mon père fou de joie, mais je ne pouvais malheureusement pas encore quitter cet endroit du fait de l’instabilité de mon corps et je le voyais encore moins que ce qui m’était permis. Cependant je souhaitais plus que tout revoir mon père afin qu’il me félicite en personne, qu’il voit mes progrès… J’avais donc décidé de m’échapper à leur insu pour le retrouver. Ce ne fut pas aisé : je dus me cacher pendant un long moment mais cela paya, je pus même savoir que mon père était dans le bureau du général en charge de cet institut. Mais il aurait mieux valu que je n’aille pas vers ce bureau…

J’épiai leur conversation et j’appris que nous n’étions rien de plus que des armes potentielles pour eux. Que mon « père » avait d’autres « fils » et « filles » dans cet établissement… Cet être était un manipulateur de premier ordre engagé par ce général pour trouver d’autres enfants dans mon cas et les pousser à être abandonner… C’est cet homme qui avait fait en sorte que j’aille souvent à l’hôpital en demandant des mettre des prix exorbitants pour les traitements que je recevais ; ce même homme avait convaincu l’entourage de ma mère de l’isoler du fait qu’elle élève un monstre. Cet homme était responsable de tout mon malheur…

Sous le coup de l’émotion mon bras se changea en une lame… Lame que j’utilisai alors pour découper sans mal cette porte. Le général était surpris et sans voix, mon « père » ne paraissait pas surpris du tout. Seul le général réagit en tentant de prendre une arme à feu, mais je m’étais déjà précipité sur lui, lui tranchant le bras. Ce manchot hurlait à présent de douleur, il hurlait de l’épargner, que les ennuis me pourchasseraient si je le tuai. Tout cela n’avait guère d’importance pour moi… J’allai alors en finir avec ses lamentations, mais j’entendis soudain un coup de feu puissant à proximité. Le scientifique venait tout juste de tirer une balle d’un Desert Eagle, mais cette balle ne m’était pas destinée : le crâne de ma cible se fit perforer. Abasourdi par ce qui venait de se passer, je me tournai vers le tireur qui lâcha :




Enfin un peu de silence. Il devenait agaçant à la fin.


Les larmes coulaient à flots le long de mon visage me brouillant la vue, mais je pus néanmoins voir qu’il déposa son arme sur le bureau avant de poursuivre :





Bien, à présent que tu sais tout ça, que comptes-tu faire ? Tu peux me tuer si cela te chantes, mais cela n’apaisera en rien ta douleur, et surtout que feras-tu une fois m’avoir tué ? Tu n’auras nulle part où aller, et tu seras un danger pour tout le monde. Tu n’es qu’un « monstre ».


Je me précipitai alors droit sur lui, la lame sous sa gorge, l’entaillant un peu.





J’avais foi en vous !!!

Ne jamais faire confiance à quelqu’un que tu ne connais pas est une règle primordiale à appliquer. Tu es trop crédule et manipulable. Tu es faible. Même si tu es dotée d’un grand pouvoir, ta faiblesse est affligeante. Je souhaite faire de toi quelque chose de fort, une arme. Ce sera mieux que « monstre » ne crois-tu pas ? Les gens reconnaitront ta valeur véritable, te féliciteront et t’apprécieront.

… Pourquoi l’avoir tué ?

Comme je le disais, ce bon à rien beuglait trop à mon goût. De plus, son inutilité s’est révélée au moment où il a tenté, vainement, de te tuer. Prend sa mort comme un gage de ma bonne foi…

… Menteur.

Effectivement. Tu apprends vite, c’est bien. Sa mort m’arrangeait car cela me donne le contrôle du centre. De plus, j’aurais dû t’éliminer s’il avait encore été en vie, et cela je ne le souhaite pas. Bon sur cette explication, que souhaites-tu faire?


Je pouvais le tuer, ça aurait été si simple. Mais je me résignai et le lâchai. Toute mes croyances étaient ébranlées, j'étais si faible... Cet homme posa alors une main sur mon épaule et dit :





Tu as fait le bon choix. La personne que tu étais est morte avec ce général. A présent tu es Zéro, et je suis ton maître. Je t’inculquerai le nécessaire pour faire de toi une arme, une machine de guerre voir même un assassin si tes talents te le permettent. Tu vivras une vie rudimentaire mais nécessaire pour te forger.

… Quels sont vos ordres Maître ?


Un sourire mesquin se dessina sur ses lèvres, le même sourire que lorsque je l’avais rencontré pour la première fois. Je ne souhaitais plus rien, simplement devenir ce qu’il désirait, et lui obéir.

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MessageSujet: Re: Forbidden memory   Forbidden memory Icon_minitimeMer 27 Fév - 17:28

Chapter 3: Suffering




J’étais devenu le cobaye de test de mon maître : son but en tant que scientifique était de comprendre le phénomène qui me touchait, cette « anomalie ». Les conditions dans lesquels j’étais à présent étaient drastiques : une cellule coupée de la lumière du soleil, sans électricité avec une sorte de lit. Ce que j’appelais lit était juste une structure métallique sur laquelle je dormais. La nourriture correspondait à des rations militaires sans saveurs mais contenant le nécessaire pour maintenir un corps en bonne santé. Je m’étais retrouvé à pleurer plusieurs fois dans cette cellule tard le soir. Mais les larmes cessèrent passé quelques mois, même si la peine et la douleur restaient présentes. Je n’avais nulle part où aller, c’est pourquoi je m’étais raccroché à lui. Je lui obéissais car c’était mon maître à présent. Cette vie était douloureuse tant physiquement que moralement, cependant je l’acceptais. Une aberration comme moi était autorisée à vivre sous ces conditions.

Au bout de plusieurs mois pénibles, je parvins à maîtriser mes transformations : mes griffes ainsi que ma lame. Ces dernières tranchaient aisément un grand nombre de matériaux pour peu que j’y mette la force adéquate et me concentre suffisamment. Mais cela était épuisant, je pus néanmoins stabiliser le tranchant à celui d’une arme en acier de manière général. La résistance était par contre très élevée paradoxalement : il leur fallait user d’une grande puissance pour entailler ce matériau que je produisais. Même si ces entrainements étaient éreintants, cela restait amplement supportable.

Le pire vint ensuite : mon maître découvrit que j’avais de bonnes capacités de régénérations, de trop bonnes capacités de régénérations. Il lui vint une idée cruelle, celle de tester les limites de ma régénération. Chaque jour devint un calvaire de souffrances où des hommes prenaient un malin plaisir à m’écorcher dans un premier temps. Puis vinrent rapidement les dépècements à proprement parler : ces « scientifiques » me retiraient des morceaux de peau plus ou moins importants. A mon grand désarroi je me régénérais une fois la nuit passé et était comme neuf même si la douleur était belle et bien présente. Ce processus se répétait inlassablement, mes bourreaux ne semblaient pas s’en lasser.

Puis l’un d’eux eu une idée : me prélever un organe afin de voir si ce dernier se régénèrerait, et pour bien faire les choses il le fit à l’insu des autres. Ce ne fut pas aisé car cet homme ne pouvait pas me droguer car mon corps était depuis quelques temps immunisé contre toute forme de sédatif ou autre poison qui permettait d’arriver à ce résultat. Je parvenais lorsque j’absorbais des aliments ou autre produits à décomposer chaque élément le composant pour garder ou rejeter tout ce que je souhaitais. C’était devenu un automatisme, une réaction normale de mon corps. Sa seule option avait été de me capturer de force à l’abri des regards. Même si j’étais un garçon de huit ans à ce moment-là, ma force était semblable à celle d’un adulte normal.

Il décida donc de le faire quand j’étais au plus faible : juste après une séance de test plus éprouvante qu’à l’habitude. Profitant d’un moment d’inattention, cet homme m’assomma. Je me réveillais après quelques temps de convalescence attaché sur une table d’opération. En grand sadique, il souhaitait voir se dessiner la terreur et la douleur sur moi pendant qu’il m’extrayait un rein. Je me doutais qu’il souhaitait me prélever quelque chose d’autre mais il avait dû se résigner afin de limiter les dégâts en cas d’échec. L’opération fut extrêmement douloureuse et longue ; je n’avais jamais ressentis pareille douleur auparavant. Une fois extrait, ce scientifique plaça mon rein dans une sorte de glacière. Face à cette douleur insoutenable, je finis par perdre connaissance.

Je finis par me réveiller au bout de quelques jours, toujours attaché sur la table d’opération. Il n’y avait nulle trace de l’opération sur mon corps, mais mon rein était manquant, je le savais. Je régénérais donc uniquement les plaies, pas un organe broyé ou prélevé. Nous étions pris au piège derrière une porte blindée barricadée : mon maître avait finis par nous retrouver et le sommait de se rendre. Son désespoir était amplement visible, sa seule carte était de menacer de me tuer en me logeant une balle dans le crane. Cela m’aurait tué très certainement. Mais notre homme était occupé pour se soucier de moi, je pus donc me libérer au prix d’un effort surhumain vu qu’il me mutilait afin de me garder sous contrôle. Une fois mes liens tranchés, il se retourna vers moi en braquant son arme sur moi. Ce qui se lisait sur mon visage le figea sur place : une rage incommensurable, une envie de le tuer tellement forte que même les gardes derrière la porte s’arrêtèrent.

Malgré cela, ce kidnappeur réussi à tirer. Malheureusement pour lui je fus recouvert d’une armure particulière sur tout mon corps, armure qui n’eut rien à l’impact de cette balle. Lorsque notre homme compris que ce qui l’attendait n’était rien de plus qu’une mort douloureuse, il vida son chargeur sur moi avant de s’écrouler seul au sol : aucune de ses balles ne m’avaient atteintes car je pouvais les voir au moyen d’une nouvelle vue axée sur les vibrations et que je les avais toutes évitées avec ma vitesse accrue par cette armure. Finalement, ne voyant d’autre issu, mon assaillant pointa son arme contre sa tempe avant de tirer. Cependant son arme était déchargée.

J’avançai alors vers lui d’un pas lent avant de le frapper. Je le frappai en continu mais méthodiquement afin que cette personne ne meurt pas tout de suite et endure des souffrances au moins équivalentes à celles que j’avais subies. Son sang maculait mon armure. Malgré tous les coups qu’il s’était pris et se prenait, ma victime n’était pas morte et souffrait atrocement. Finalement, dans un élan de bonté je lui arrachai le cœur et le broyai de ma main, sous les yeux apeurés des gardes qui venait d’ouvrir la porte et sous le regard émerveillé de mon maître.

Le sang disparu alors, comme absorbé par mon armure. Une vive douleur m’attaqua dans mon ventre avant que je ne reperde connaissance. Je me réveillais à nouveau quelques heures plus tard. Et j’entendis les médecins stupéfaits me dire que mon rein s’était régénéré. Tout cela n’était que le début de mon calvaire…

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