~~Moi~~
Prénom :
Al (Et comme j'ai été traumatisée de rencontrer quelqu'un qui utilise mon surnom, je raout -exandra)
Age :
16 (Yep! Ce coup-ci je peux plus me gourer!)
Mangas favoris :
Akira, Monster, ToG , Aphorism, Nurahilyon no mago, MPD Psycho, Kateikyoushi Hitman Reborn, et d'autres mais la liste serai loooongue
Jeux vidéos préférés :
euh... Faut préciser l'opus préféré? Sinon, ça serait les FF, les .hack// et les Kh (nah sans blaaague)
Sports préférés :
La natation, la course, et les art martiaux
Aime :
les manga/manhwa/manhua, l'animation, les jeux vidéos, dormir, manger, le silence et d'autres trucs
Déteste :
les gens que je considère comme chiants et inutiles, qu'on me réveille quand je dors, les nouvelles VF, les endives qui sont pas noyé dans la sauce vinaigrette, quand je dois recommencer trois fois ma prez' (comme ce coup ci T-T)
Personnage de Kingdom Hearts préféré :
Xion
Scène préférée des Kingdom Hearts :
Y'en a trois : celle où Xion disparaît sur la place de la gare à la cité du crépuscule et celle où Roxas quitte l'organisation et qu'Axel cherche à l'arrêter, et enfin celle de la bataille aux mille sans-coeurs
Invocation préférée de Kingdom Hearts :
Clochette
~~Mon Personnage~~
Nom :
Dousha
Prénom :
Skleith
Age :
16 ans
Groupe :
Lumière
Points forts :
ambidextre, d'assez bons réflexes et le maniement de deux lames simultanément (bien qu'elle n'utilise que peux cette compétence), sa loyauté
Points faibles :
distraite, maladroite, naïve, facile à manipuler, est un « légume » lorsque elle n'est pas en possession de ses sabres (incapable de se mouvoir, penser, parler, etc...), deux traumatismes majeurs
Caractéristiques physiques :
Skleith est d'apparence plus jeune qu'elle ne l'est en réalité, par sa petite taille et son manque de poitrine Son teint très clair tend plus vers le blanc porcelaine que le blanc cadavérique. Bien qu'elle affectionne particulièrement de « changer d'identité » en se déguisant, ses cheveux sont originellement blanc-argentés, coiffés aux carré et ses yeux, verts.
Elle est habillée usuellement d'un ensemble vert, avec, en haut une chemise blanche à manche à ballon, surmontée d'une veste sans manche. Le col de la chemise est tenu par un ruban (souvent en nœud papillon). En bas, elle porte une jupe jusqu'aux genoux se terminant par un léger froufrou. Sur la tête, elle porte n serre-tête agrémenté d'un nœud. Au pied, de simples chaussures noires.
Elle est continuellement accompagnée d'une espèce de masse blanche informe, semblable à un nuage avec une traînée. Il s'agit en réalité d'un être à mi-chemin entre un fantôme et un zombie. Elle préfère néanmoins le qualifier de fantôme (eh non, tous les fantômes n'ont pas une "texture" ectoplasmique)
Son caractère :
Premièrement, elle est assez naïve et est par conséquent facile à manipuler. Elle aura cependant tendance à se méfier des gens trop gentils. Si elle n'est pas armée, elle se sentira en insécurité totale et en perd tous ses moyens.
Sinon, elle reste une jeune fille relativement joviale si on exclut tous les moments où elle repense à son passé ou pense tout court car elle prend une expression extrêmement sérieuse (narmol, quoi). Elle n'hésite pas à proposer son aide et rend toujours tout service qui lui a été fait.
Du fait de son passé, elle a commencer à développer deux traumatismes : celui des espaces clos (quelle que soit leur taille) et celui des endroits sombres (extérieur/intérieur). Au prix de nombreuses années "d'entrainement", elle réussit à surpasser partiellement ces traumatismes. Elle peut donc réussir à être calme dans ces deux cas. Du moins, en apparence.
Son arme :
deux armes blanches :
un wakizashi (épée courte japonaise), et un simple katana
Sa magie :
peut donner à un mort (pas encore décomposé) un « corps » informe
Invocation :
none
Son passé:
La porte s'ouvrit. Une éblouissante lumière emplit la pièce.
Je ne distinguai rien, mais des voix parvenaient à mes oreilles. Que disaient-elle ? Qui étaient-elle, Je n'en savait rien. Je ne voulais pas savoir. J'attendais seulement avec hâte que la ténèbre engloutisse à nouveau la pièce. Je haïssais la lumière.
*On dit que tout le monde aime la lumière. Mais moi je la déteste ! Je la déteste ! Je déteste tous les habitants de la lumière !!*
La lumière ne tarda à s'éteindre, ne laissant plus que les ténèbres absolues et un silence tout aussi absolu. Mais ça ne tarda a durer. Bientôt, un léger baragouinage se fit entendre. De plus en plus fort, jusque au point de devenir insupportable !!
- Mais tait toi à la fin ! Je sais pas qui t'es, mais si t'es là, tu finira la fin de tes jour ici ! Ils te sortirons jamais d'ici ! Compris ! Ici, c'est la « cellule maudite », capito ? Tout ce qui leur fait peur fini ici. Tu peux supplier autant que tu veux, tu peux prier Dieu autant que tu veux, rien ne pourra t'aider. Seule la mort peut alléger tes souffrances.
La voix, s'arrêta soudain de baragouiner. J'étais contente. Plus rien ne perturberai désormais. Du moins c'est ce que je pensais. L'autre m'adressa la parole :
- Qui es-tu ? Que fais-tu ici ? Qu'as-tu fait pour atterrir ici ?
- J'm'appelle Skleith, j'ai 8 ans, et j'ai rien fait. J'ai juste... les yeux verts...
- 8 ans ?! C'est pas des propos qu'un enfant de 8 ans dirais ! 'te fous pas de moi ! Et puis, comment le fait d'avoir les yeux verts peut envoyer quelqu'un dans un lieu pareil ?!
- Vous devez être un étranger alors... Ici, avoir les yeux verts, c'est un blasphème... Vous êtes considéré comme un monstre, un démon, et tout ce que vous voulez d'autres...
*****
C'est comme ça que commença ma longue histoire avec l'Etranger. Je n'avais jamais connu son nom. Je savais juste qu'il venais d'un autre monde. Il m'appris de nombreuses choses, sur ces autres mondes, sur les gens, sur la lumière et sur les ténèbres. Je compris alors que les habitant d'ici avait leur cœur consumé par les ténèbres et je petit à petit, je me mit à apprécier la lumière. Voir le « monde » d'une nouvelle manière alimentait, chaque jour, un désir de plus en plus puissant de voyager.
Alors, un jour, je décida de prendre les choses entre mes mains ! Nous allions nous évader, moi et l'Etranger. Il semblait contre au début, puis, le jour de mon neuvième anniversaire, il m’annonça :
- Comme nous sommes en prison, je ne peux t'offrir qu'une chose : la liberté.
La semaine qui s’ensuivit fût exclusivement réservée pour l'élaboration d'un plan. L'Etranger l'avait déjà bien avancé lorsqu'il me le proposa. Moi, je m'occuperai de nous enfuir du village une fois dehors.
*****
Le septième jour, le plan était près. Il ne nous restait plus qu'à attendre qu'on nous serve le petit déjeuner. Ce qui ne tarda à arriver. Ce fut mon plus beau jour depuis les 3 années où je fût enfermée. Je m'imaginais déjà dehors, en train de gambader dans les champs avoisinant, profitant réellement pour la première fois de la vie.
Cependant, nous n'avions pas fait attention que les baguettes qui nous avaient étés données étaient particulièrement lourdes et bien taillées.
A la fin du repas, le garde vint chercher nos plateau. Lui aussi aurait du nous mettre la puce à l'oreille. Il ne s'agissait pas de l'habituel garde, massif comme une montagne qui semblait immortel. Cette fois-ci, c'était un petit gringalet, fin comme un cure-dent et qui semblait être fait pour tout sauf pour être garde. Mais nous avions considéré cela plus comme une chance pour nous évader que comme une menace. Nous aurions du... Nous aurions du...
Au moment où le garde se pencha pour ramasser le plateau, l'Etranger lui planta ses baguettes plusieurs fois dans le corps du jeune homme. Il ne fut pas longtemps pour qu'il s'écroula raide mort. La première étape de notre plan avait marché ! Rapidement, nous progressions au travers de la prison en tuant les quelques gardes qui essayent de nous barrer la route. Tout se passa pour le meilleur des mondes, nous avions même réussit à récupérer ses deux sabres. jusqu'au moment où nous atteignîmes la sortie. Dehors, nous attendaient une vingtaine, une trentaine, non, même une quarantaine d'hommes.
Ils connaissaient notre plan. Ils nous avaient entendu. Ils nous avaient tendu un piège. Nous étions à leur merci.
L'Etranger me sourit et d'un ton assuré me dit « ne t'inquiète pas. Je m'en occupe. Je te promet que nous vivrons ensemble, après. » Et il dégaina.
Il me fallut longtemps pour réaliser ce qui venait juste de se passer devant mes yeux. Ou plutôt, pour l'accepter. Au beau milieu de la place, affolé par terre, le ventre transpercé, baignant dans une mare de sang, le corps inerte de l'Etranger. Il avait réussi a entraîner avant sa mort plus de 25 de ses adversaires. Mais ça m'était égal. Ce qui importait c'est que l'Etranger n'était plus qu'un souvenir.
Et puis, soudain, je ne pus me contenir. Je sentis mon sang bouillir en moi !
- NAAAAOOOOOON !!!!!!
Je courus. Je saisis les deux sabres. « Sploch », « sploch » que ça faisait. C'était rouge. C'était chaud. C'était du sang. Le sang de tous les autres hommes encore debout.
C'était fini. Tout. L'évasion. Ma vie avec l'Etranger. Les autres. Tout. Je voulais maudire Dieu pour ce destin maudit qu'il m'avait donné. J'avais perdu foi en la lumière. J'étais décidée à me dévouer aux ténèbres quand soudain, en posant mes mains sur le corps de l'Etranger, ce-dernier se mit à briller. Tout devient blanc. Je me sentais mal, j'avais mal aux yeux. Je m'évanouis.
*****
A mon réveille, une masse blanche informe se tenait devant moi. Bien qu'elle ne pouvait parler, je comprenais ce qu'elle disait. Cette créature, c'était l'Etranger. Il m'expliqua que je l'avais en quelque sorte ressuscité.
Ce fut mon premier contact avec mon pouvoir. Celui de pouvoir transformer en fantôme les morts et de pouvoir communiquer avec eux. Ainsi commença mon voyage pour faire le tour des mondes avec l'Etranger à mes côté. En son hommage, avant de partir, je pris ses sabres et m'investis assidûment dans l'art de manier le sabre. Ce n'est que de nombreuses années plus tard que je partis enfin.
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