Il faut faire des affaires !

"Y'a intérêt qu'ils puissent me le vendre" disait le lapin en parlant dans sa moustache.

Récemment, suite aux diverses aventures que son coeur subit de force dû à l'étrange "bug" qu'eut son monde, Oswald perdit ses pouvoirs. En effet, afin de pouvoir régler totalement les blessures qui écorchaient le coeur du lapin chanceux, Mickey qui se rendit dans le coeur de celui-ci, dû vaincre la Tâche, l'esprit de l'essence de magie maudite des sorts de peinture qu'Oswald avait absorber dans sa jeunesse. Il avait, tout au long de sa vie, appris à manier cette magie dont seul lui pouvait contrôler. Que pouvait-il faire maintenant ? Certes il lui restait le pouvoir de la Keyblade, mais Oswald n'en était pas non plus un immense porteur qui connaissait tout de cette arme. De plus, étant donner que son monde est réapparu et qu'il à l'intention de tout faire pour le protéger, il avait besoin de moyen de défense. De quoi mettre son monde à l'abris des autres, pour ne pas subir un nouvel événement, vu qu'il ne pouvait plus le protéger lui même.

Ayant pris connaissance de l'avancé technologique du Jardin Radieux, le roi d'Ostown souhaitait prendre contact avec ses dirigeants et son comité afin d'en savoir plus et de pouvoir, peut-être, espérer obtenir le même système de défense qu'eux : le système Claymore. Dès que des sans-coeurs ou bien une personne présentait une éventuelle menace pour la sûreté du monde et de ses habitants, le système Claymore s'active et combat grâce à des sphères digitales de lumière jusqu'à ce qu'il ne reste plus de soucis. 

Arrivé sur la place principal, le centre-ville, Oswald se mit à la recherche de quelqu'un pouvant l'aider. Seulement, étant en pleine zone de commerce, les gens étaient occuper à faire leurs courses et emplettes et ne faisaient donc pas attention au (petit) lapin qui pouvait leur faire une petite tape sur l'épaule pour les accoster.

"Hey, quelqu'un veut-il bien m'écouter !? Je suis le Roi d'OsTown !"

Les gens eurent beau se retourner, ce n'est pas pour autant qu'ils prêtèrent vraiment attention au lapin chanceux, après tout, OsTown était maintenant un monde oublié de tous.

HRP:

Alors qu'il cherchait de l'aide pour sa "mission", et hurlait à travers le centre-ville du Jardin Radieux, le lapin chanceux se vit grandir de plusieurs dizaines de centimètre lorsqu'il fut soulever par le col d'une seule main par un jeune homme fort irrespectueux. "Le lapinou" qu'il l'appela, à une époque, Oswald n'aurait rien eu contre le fait qu'on l'appelle ainsi. Enfant, il adorait se faire câliner et qu'on le prenne pour une peluche. C'est une facette de lui qui s'était incarnée dans la personnalité qu'il avait pris lors de sa seconde vie, mais qui n'était plus visible dans le Oswald d'origine, celui qui se trouvait ici présent nez à nez avec un gamin qui ne savait pas à qui il s'adressait.
Alors qu'il aurait adoré faire comprendre à ce jeune homme les bonnes manières à l'aide de sorts de peinture (ce qu'il n'aurait pas pu dans tous les cas) un autre homme arriva et donna une lettre au premier.

"Tu peux me reposer ? T'as l'intention de faire la lecture en me gardant en l'air comme ça ?"

"whooo Cool Lapinou relax c'est juste pour savoir pourquoi tu hurle comme ça...on t'a volé ta carotte ? "
Dit Volke la lettre dans une main le lapin dans l'autre, avent de commencer a lire il plaça le lapin dans les bras de homme qui lui apporta la lettre en lui demande bien gentiment de lui porte "lapinou". Alvine se plongea dans sa lecture 

"Monsieur Volke (ils connaissent mon deuxième prenons..Celui que je garde pour le millieu) , mes collaborateurs et Bal bla bla bla bla. Nous savons aussi bla bla bla bla bla une mission bien payée à vous confie. Bla bla bla bla blabla bla l'auberge "du sans-cœur qui boite" et demandé monsieur Hizuka. Nous discuterons alors de votre mission et du montant de vos honoraires."


-Encore un qui s'écoute parler

"Hizuka"

Al garde les yeux vixer sur la lettre un petit moment avent de jeter un oeil autour de lui, il vue que Le Lapin se débattre pour descendre des bras de l'homme dans le quelle  l'Al  l'avait mit cette une  scène plutôt comique de voir cette petite bête se débattre pour que l'homme  le lâche.

-Bon, on ne dit jamais non à une tell proposition surtout que je n'ai pas le luxe de pouvoir.  Dit Al d'un aire joyeux 
- Par contre, je ne connais pas l'auberge, je me demande qu'elle genre de lieu glauque ces ? Est Al plongea dans ces pensées un moment (Mais y-a le lapin aussi je sans qu'il peut me rapporter gros ....je n'ai qu'à le prendre il viendra surement si je promets de l'aide une fois ça terminer, je n'aurai qu'a garde un œil dessus, mais je dois aussi trouver cette auberge.. ) Alvine regarda directement l'homme qui tenait lapinou ils examina son style vestimentaire ces yeux avec un léger sourire.

- Dit mon pote. Tout en se placent a cote de l'homme est passe son bras autour de son cou comme a un ami de longue date. 
-Quelle que choses me dit que tu connais ? 

Le coursier fut surpris par la demande de Volke de prendre le lapin parlant dans les bras mais il obtempéra. Il avait plus ou moins compris que ce type était un mercenaire et il préférait ne pas le contrarier, les gens de ce milieu avaient plus ou moins la réputation d'avoir la gâchette ou le coup d'épée facile. Il le laissa donc lire tranquillement sa lettre en continuant de garder le lapin dans ses bras en lui faisant une mimique qui semblait vouloir dire "désolé.
Il fut encore plus surpris quand Volke passa familièrement son bras autour de son cou pour lui demander où se trouvait l'auberge mais il n'en fut pas rassurer pour autant. Le jeune homme était un peut trouillard et nerveux, ce qui dans son métier était une bonne chose si on voulait sans sortir sans trop de casse.

-Ok, suivez moi, je vais vous menez à l'auberge. Dit-il tout en posant le lapin. Il y avait des limites quand même.


Pendant ce temps à l'auberge.


-Il y a intérêt à ce que ça marche cette fois. Dit un homme enrobé en blouse blanche et avec une épaisse barbe brune.


-Si vous avez une meilleur solution docteur Jacob je vous en prie parlez. Rétorqua sèchement une élégante femme aux cheveux châtain et en costard cravate.

-Du calme mes amis du calmes. Dit un homme dans les mêmes habits que la femme. Je comprends, docteur, vos doutes concernant notre méthode mais croyez moi c'est sans doute la plus efficace.

-C'est aussi ce qu'on disait lorsqu'on a engagé un porte flingue pour chopper 555, et vous vous souvenez du résultat. Répliqua le scientifique blouse.

L'homme aux cheveux bleus poussa un soupir en répondant.

-Oui je vous accorde que les derniers résultats n'ont pas été très... concluants. Cependant Yoru, malgré ses grandes qualités au combat n'était pas stable et il suivait ses propres motivations.

-En utilisant pour cette mission un homme uniquement motivé par l’appât du gain nous courrons moins de risques que les événements de la dernière fois ne se reproduisent.

Jacob poussa un grognement désagréable pour montrer ce qu'il pensait de ces explications.


On toqua alors à la porte.


-Monsieur Hizuka, on vous demande. 


-Nous arrivons. Répliqua le principal intéressé. Bien, mes amis il est temps d'aller voir notre employer.



Le trio descendit des escaliers et Shizuka offrit un sourire sympathique à Volke qui avait dû attendre au bar après s'être fait annoncé, tout en tendant la main pour la lui serrer.


-Bonjour monsieur, Volke je suis Shizuka, et voici madame Jennifer Longalley et le docteur Jacob Varrechrad...

-Verraichenard ! Bordel, c'est pourtant pas compliqué. S'énerva le scientifique au nom imprononçable.

-Oui, si vous voulez, venez vous assoir à cette table avec votre ami, nous pourrons discuter de votre mission. Dit-il en montrant une table à l'écart qui avait été préparée justement pour eux.

Oswald préférait ne pas réagir même si l'envie ne lui manquait pas. Il serait stupide de piquer en scandale royal et de s'attirer des ennuis alors qu'il recherchait plutôt de l'aide. Après tout, en y songeant, c'était plus ou moins "normal" que les gens prennent Oswald pour un simple lapin... parce que c'est le cas en fait ? Oui. Aussi. Mais surtout parce que le lapin chanceux savait que les mondes avaient fini par oublier OsTown et son roi. Cela pouvait paraître surprenant que le lapin chanceux puisse être aussi résonné et arrive à prendre du recul sur sa situation, vu qu'il était anciennement de nature fortement colérique et anxieuse. Bien qu'il puisse prendre du recul, c'est surtout de la hauteur qu'il prenait à être placer de bras en bras. L'homme qui avait apporter la lettre au premier finit par le déposer, Oswald ne dit même pas un simple "Merci", il releva juste la tête fièrement et remis bien en place sa cravate.

Il aurait préféré pouvoir dire qu'il pris la décision de suivre les deux hommes jusqu'à l'auberge histoire de les garder à l'oeil et peut-être pouvoir se venger, mais c'était en réalité bien parce qu'il se disait pouvoir rencontrer des gens capables de l'aider là-bas. Après tout, dans une auberge, y'a forcément du bon monde non ? Y'aurait probablement quelqu'un charger de la protection du Jardin Radieux et connaissant des informations sur le système de défense Claymore.
Faisant mine de rien, ne disant pas un mot, Oswald arriva jusqu'à l'auberge "Du Sans-coeur qui boite" en suivant les pas des deux hommes (ce qui n'est pas si simple à faire lorsque l'on fait quatre-vingt-dix centimètres dans une foule).

Arrivé dans l'auberge, Oswald sauta sur le comptoir et demanda une pinte. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas pris le temps de boire un coup, bien que cela ne soit pas son pêché mignon, il n'était pas contre un ou deux petits verres d'alcool, tant qu'il garderait ses esprits pour l'affaire. 
Terminant sa consommation, le roi d'OsTown remarqua trois personnes descendre et arriver dans la salle principale avant de se présenter à l'homme se faisant appeler Volke. L'un d'eux s'énerva, un homme en blouse, s'appelant "Docteur Jacob Varrech... Verraichenard", (Oswald pris bien en note de ne pas tenter de prononcer son nom par la suite). Bien qu'il savait que la main était tendue à Volke, Oswald, marchant sur le comptoir, s'approcha et la serra à celui s'étant présenter sous le nom de Shizuka.

"Bonjour. Je suis Oswald The Lucky Rabbit, roi d'OsTown. Seriez-vous des hommes d'affaire du Jardin Radieux ?" demanda sans gêne le lapin.